from schilaur
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from schilaur
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from Miaouf
A
Ce jour-là, j’avais 12 ans… ou bien 13, je ne sais plus très bien, mais ce dont je me souviens, en revanche, c’est de ce jour qui restera à jamais gravé dans ma mémoire comme dans du marbre… Je me réveillai en sursaut, les membres engourdis et ma respiration peinant à revenir, c’était encore mon crétin de petit frère qui s’était jeté sur mon lit de toute sa force et son poids, qui m’eurent semblé comparables à celles d’un rhinocéros. Oui, je dois bien l’avouer : mon petit frère, malgré ses 3 ans en moins, est plus grand et beaucoup plus fort que moi, ce qui m’a toujours empêché de profiter des avantages normalement occasionnés par le statut de grand frère. Néanmoins, il est ignorant et c’est une langue de vipère, je suis donc bien plus intelligent et sensible qu’il ne le sera jamais, c’est déjà ça. Mais peu importe, aujourd’hui, c’était le grand jour, j’allais enfin pouvoir me rapprocher de celle que j’aime tant, celle vers qui je me réfugie quand les choses tournent mal et qui ne m’a jamais laissé tomber, aujourd’hui, j’allais enfin naviguer sur la mer pour la première fois. Combien de fois n’ai-je pas pensé à ce jour, encore et encore, assis sur mon rocher, admirant les vagues tandis qu’elles me faisaient des signes de la main, les poissons m’invitant à les rejoindre à la manière d’un ami qui vous conseillerait un bon restaurant, et, me semblait-t-il, les flots adaptant chaque jour leurs courbes afin de garder leur attrait, leur singularité et leur beauté qui me plaisait tant. Je m’assis sur mon sempiternel rocher et attendit, mon père devait bientôt arriver, pour patienter je regardais encore une fois les vagues, inlassablement, me disant qu’après ce jour, plus jamais je ne verrais la mer de la même manière, et j’étais à mille lieues de savoir à quel point j’avais raison… Mon père n’a effectivement pas tardé à arriver, il était à l’heure, comme d’habitude. Je l’ai salué chaleureusement, serré dans mes bras, remercié une énième fois et nous sommes parti en direction de son bateau, à quelques centaines de mètres de là, une porte d’entrée vers l’étendue d’eau infinie. Tandis que je marchais, j’examinais tout autour de moi, mon regard s’attarda, sûrement par admiration, sur mon père. Il était pêcheur, un métier assez commun là où je vis mais qui avait très bonne réputation (ceux qui rapportent de quoi manger sont toujours appréciés), il était grand, je dirais 1m85 à peu près, et ses épaules étaient larges, comme presque tout le reste de son corps, ses bras étaient puissants, et il était assez impressionnant de voir la carrure d’un pêcheur aguerri (carrure dont mon frère semblait avoir hérité à la naissance, à mon détriment…). La seule chose petite chez lui, c’était sa tête, carrée et parsemée de longs et abondants cheveux noirs, rassemblés en un chignon à l’arrière de sa tête. J’avoue que ça lui donne un certain effet comique, mais jamais je n’aurais osé me moquer de lui, car bien qu’il n’eût jamais levé la main sur moi, mon père étant un homme des plus bienveillants, je suis convaincu qu’une seule de ses gifles pourrait me décrocher le visage et l’envoyer jusqu’à la lune sans le moindre effort. Et puis de toute façon, sur le rivage, je voyais un contraste bien plus grand : le bateau, c’était une véritable allumette ! J’ai tout d’abord cru à une blague, je ne voyais vraiment pas ce vieux fétu mal fichu chevaucher les vagues et transporter le colosse qu’était mon père, même moi je pourrais le briser en deux rien qu’en marchant dessus ! Mais visiblement, mon père était des plus sérieux, et malgré la joie que me procurait ce grand jour, je ressentais maintenant au fond de moi une certaine appréhension, et je précise bien appréhension, je n’avais pas peur ! De toute façon, que pouvait-il arriver de mal ? Ça y est ! On était partis ! Enfin ! Le bonheur que j’éprouvais était tel que je ne pouvais cesser de rire et de sourire, comme un enfant qui découvre l’hiver et qui part créer son tout premier bonhomme de neige. Au bout d’une dizaine de minutes, j’étais déjà bien plus calme, j’étais assis calmement dans l’allumette et je fermais les yeux en écoutant le doux clapotis des vagues, tumulte qui semblait transporter les souvenirs de ceux qui eurent jadis navigué en cet endroit, des millions de mémoires du passé qui se croisent, s’entrechoquent, se mélangent et s’emmêlent avant de repartir dans la noueuse distance, intangibles. J’écoutais ces souvenirs en essayant de les comprendre, parfois une bribe, un fragment, une molécule, il m’eut même semblé que, durant une fraction de seconde, je fus capable de percevoir une odeur. Une odeur de quoi ? Je ne sais pas. De rose, peut-être, ou d’un mélange encore inconnu, qui sait ? La mer détient encore tant de mystères. Combien de temps cela faisait-il que nous étions partis ? Je n’en avais plus aucune idée, mais la chaleur du soleil commençait à frapper ma tête comme l’on frappe une cloche, et cette dernière commençait à me lancer furieusement. Comment diable la gracieuse mer pouvait-elle refléter quelque chose d’aussi sournois et sauvage que cet astre hautain, abusant de son pouvoir pour opprimer ceux qui ne sont pas aussi grands que lui, allant même jusqu’à détruire l’élément de la mer dès qu’il se trouve vulnérable, un tyran divin qui serait capable de réduire en cendres un univers entier pour son bon plaisir. Mais j’en fis assez vite abstraction, car les nuages commençaient à le masquer et la mer à gronder, un grondement d’un sourd vacarme qui s’élevait des tréfonds de la grande bleue, et voici maintenant que les nuages pleuraient, tandis que l’horizon plat commençait à se déformer et à se déchirer, dans une violence grandissante. Je regardais mon père qui paraissait effrayé, comment mon père pouvait-il être effrayé, lui qui n’avait jamais peur ? Y avait-il une bonne raison d’être effrayé alors que la mer nous protégeait et que le soleil était caché derrière les nuages ? La décision fut tout de même prise de rentrer mais la mer n’était pas de cet avis, et en un éclair, une masse d’eau s’écrasa sur l’allumette et tout devint subitement noir… Je repris conscience, ou ce qui me semblait être la conscience, dans un espace noir, vide, abyssal, tous les concepts superflus tels que la distinction entre le haut du bas ou la gauche de la droite, ou encore mon propre nom m’étaient inconnus. Je flottais dans cet environnement infini, à la fois glaçant et réconfortant, chaleureux et oppressant, ou le monde semblait tenir dans la paume d’une main et l’éternité dans une seule heure. Et à travers la profonde noirceur, des lignes… Comment ça des lignes ? Je n’en sais rien, mais je voyais des lignes, des millions de lignes qui s’entremêlaient, noire clarté au milieu de l’obscurité, code génétique des mouvements de la mer. Je fixais le sombre horizon, à la recherche d’une direction quand ma tête se mit à vibrer, avec une force et une insistance redoublant à chaque instant, s’amplifiant, encore et encore, telle une tonitruante agonie dans le silence. Ma vue se brouilla et je voulus me tenir la tête, hélas je réalisai que mon corps ne répondait pas, pas ici, ici seule ma tête était capable de percevoir, de sentir, de toucher, de vivre, comme un seul être vivant, ce que je voyais n’était plus l’image de mes yeux, mais la réalité à travers la fenêtre de l’esprit, j’observais une réalité normalement faussée par cette limitation humaine qui ne peut percevoir le vent, quand bien même il est une des plus grandes forces de notre monde, en d’autres termes, le fardeau et la faiblesse de l’être humain. Et je réalisais dans le même temps que je n’étais pas fait pour le supporter, et que ma douleur venait sûrement de là, ma tête semblait être sur le point d’exploser. Puis tout redevint calme, tout redevint normal. Normal ? Non. Quelque chose avait changé, je le savais, mais quoi ? Les lignes ? Je regardais dans le vide à leur recherche et je vis que je ne m’étais pas trompé, les courbes commençaient à désorganiser leurs variations, à se couper entre elles, à fonctionner non comme un ensemble mais comme un million d’entités distinctes. De ce chaos semblait sortir une forme, j’y distinguais vaguement des jambes, des bras, bientôt une tête, puis, peu à peu, un être véritable se forma devant moi, je voulus lui parler, lui demander comment partir d’ici, mais ma voix ne servait à rien ici, j’étais connecté par ma simple volonté à tout ce qui s’étendait autour de moi, alors sitôt que j’eus évoqué en moi l’idée de partir d’ici, l’entité devant moi leva son bras vers ce qui semblait être le haut, je regardas dans cette direction et vis une lumière, une faible lumière, qui ne faisait que rétrécir, s’affaiblir, mourir à petit feu. Puis je me sentis tiré vers le bas à une vitesse hallucinante, je voulus crier, impossible. Je voulus me débattre, impossible. Je compris à cet instant que la lumière était mon seul espoir, et alors que cette pensée me remplissait comme une chambre remplie par la lumière du soleil, ou une église par la présence de son dieu, je me sentis ralentir, puis m’arrêter, puis repartir, mais dans l’autre sens ! Et la lumière grandissait, illuminait tout, remplaçait l’obscurité, de plus en plus vite, bientôt elle allait remplir tout l’obscurité, encore quelques secondes, ça y est, tout était illuminé, et maintenant ? Je m’éveillai d’un coup, toussant comme si je crachais mes poumons, je repris mes esprits et regardai autour de moi, je vis la mer, l’allumette, mon père m’aidant à me lever, encore inquiet, tout en m’expliquant qu’il m’avait sauvé de la noyade. Cela peut être absurde mais ce jour-là, j’ai réalisé que j’avais été piégé par la mer, et quel le soleil m’avait peut-être bien sauvé.
from minimale
Ne pas confondre pollution nocturne et pollution lumineuse. Même si la première illumine votre nuit.
from minimale
from velican
Rejoindre Derborence avec un vélo gravel et des bagages légers, en solo, par le versant ouest de la vallée (rive droite) de la Lizerne. Histoire de ne pas prendre la route des voitures et des tunnels sur l'autre versant.
10 juin 2023, montée au départ d'Ardon par les vignes, une pente annoncée de 27% par le mur du Beuble. 420m de dénivelé à pousser le vélo jusqu'au lieu-dit Montau. Une affichette très sommaire collée par la commune prévient “Accès à Derborence impossible. Chemin pédestre impraticable et dangereux“
Ne pas ignorer l'avertissement, peu spécifique, mais relativiser. Peut-être était-ce dû à la neige qui aurait fondu? Ou à des travaux en cours qui auraient déjà progressé. Aucune indication de date sur l'affiche. Allons voir si ça passe, et soyons prêt à rebrousser chemin si nécessaire. Surtout qu'à ce stade, il n'y a pas d'alternative sinon redescendre dans la plaine du Rhône. La montée est belle, malgré la pluie. Des vues spectaculaire et une ambiance roc brut lors du franchissement des torrents. Fidèle au tracé Swisstopo, la route monte principalement en forêt. Quelques passages peu sécurisés, mais parfaitement praticables, sur 6km, 500m D+. Au vu de ma progression, je compte bien arriver à Motèlon.
Vers le Tsené de l'Ecarré, alt. 1320, il reste moins de 2km pour rejoindre la route montant par l'autre versant. Un chamois me fait face puis disparaît et je constate que la route, devenue sentier, fait de même. Dégâts causé par un éboulement et le passage devient dangereux. Infranchissable pour moi, avec le vélo à porter et le ravin de 200m à pic.
J'assume, évaluation du risque faite, et rebrousse chemin. En redescendant, conversation avec un autochtone qui confirme que le chemin ne passe pas. Voilà plusieurs années déjà, et les communes ne trouvent pas d'accord pour le réparer. Au passage à Montau, je sors mon stylo pour préciser sur l'affiche qu'elle dit vrai. Retour au point de départ. Aucun bus ne monte plus à Derborence. Moi non plus, pas cette fois-ci.
Ne serait-il pas pertinent que Swisstopo indique lorsqu'un chemin n'est plus praticable ? Pourrait-on notifier le service de cartographie de la Confédération et faire ajouter de tels avertissements? Je constate, mais trop tard, que l'information est donnée par Suissemobile, si l'on charge la couche la “Suisse à pied”. Le tronçon endommagé est marqué sans équivoque.
Une lecture attentive d'Openstreetmap révèle que l'éboulement est indiqué (il ressemble à un crocodile), formant une interruption ponctuelle du chemin. Et Komoot en tient compte dans son calcul d'itinéraire.
https://tooting.ch/@gonzen/110575105852320220
from aroom
(La fée Stéphanie)
Laisser tiédir avant de démouler. Saupoudrer de cannelle.
Pour la pâte :
Pour l’appareil :
Préparation de la pâte :
Préparation de l’appareil :
Pour une dizaine de gros pancakes
Pour une version burger ajouter des graines de sésame sur le dessus avant de retourner le pancake !
Pour 15 crêpes :
Pâte
Ou
Cuisson : 10-15 minutes a blanc
Appareil
Pastry
Combine the flour, icing sugar in a large bowl. If using maple syrup instead of icing sugar, don’t add it just yet. Add the oil and rub it into the dry ingredients with your fingers until your flour looks like breadcrumbs and there are no lumps of coconut oil left.
If you are using maple syrup, add it now and the chances are that you will not need to add any water to bring the dough together. If using icing sugar, add cold water – be careful, do it gradually – how much water you’ll need depends on how absorbent your flour is. I added about 4 tbsp / ¼ cup. Combine all the ingredients into a dough gently, but do not knead (that’s important for the gluten version) or the pastry will be tough. Wrap it up in a piece of cling film and chill in the fridge for 30 minutes.
Remove the dough from the fridge and roll it out between two sheets of baking paper until you get a circle large enough to cover your entire tart case, about 2-3 mm in thickness. Place the rolled-out dough over a tart case and gently line the inside of it with the pastry. Tuck the pastry in well, ensuring that it fits snugly into all the nooks and crannies. Trim the excess pastry with a sharp knife and patch any holes with the cut-off excess. If making gluten-free pastry (which tends to be more crumbly), you may be better off placing the crumbled pastry in the tart case and simply moulding the pastry with your hands to the shape of the tart tin – you do not need to worry about overworking the pastry as it contains no gluten.
Pierce the bottom of the pastry with a fork in a few places and chill the pastry-lined tart case in the fridge for about another 60 minutes.
45 min into pastry chilling time, preheat the oven to 175° C. Line the pastry case with a large piece of crumpled baking paper and fill with baking beads or rice for a blind bake.
Blind bake the pastry for 15 minutes. Remove the paper and beads and bake for another 10 minutes.
Filling
While the pastry cases are baking, prepare the filling. Cream oil and sugar (or maple syrup) with an electric whisk. Next, whisk in the flour. Add aquafaba, small amount at a time. Whisk well after each portion of aquafaba.
Finally, gently fold in the almond meal and almond essence with a spatula. You should end up with a thick batter (it will be a bit less thick if you used maple syrup instead of sugar).
Fill the pastry case with almond frangipane and use a silicon spatula to spread the filling evenly.
Push as many raspberries as you can into the filling. It will rise during baking a fair bit so don’t worry if raspberries are sticking out. If using frozen raspberries, dip each raspberry into cornflour / cornstach first before pushing it into the filling as frozen fruit tends to ooze more water during baking.
Bake the tart for about 45 minutes, until the filling is nicely browned. I found that the maple syrup filling tends to take a little longer in the oven (by 10 minutes or so). Remove from the oven and allow the tart to cool down before removing it from the tin and cutting it into slices. The top will crisp up nicely as the tart cools down.
Pour un cake de six а huit parts, il vous faudra:
Pour le glaçage:
Faire dégorger. Préchauffer le four à 180°C.
Pour le gâteau
Rajouter le jus de la rhubarbe après avoir fait le crumble et verser dans un moule rond.
Pour le crumble
Déposer les morceaux de rhubarbe sur le gâteau. Répartir le crumble par-dessus. Enfourner pour 40 à 50 min : le crumble doit être bien doré.
four à 180 degrés – 15-18 minutes
*cookies
Verser dans un grand bol la farine, la poudre de noisettes, le sucre glace, la levure chimique et le sucre vanillé et bien mélanger ensemble les ingrédients. Cela permet de « casser » les éventuels grumeaux futurs et d’avoir une pâte absolument lisse à la fin. Préchauffer le four au 180°C.
Verser l’huile neutre pour cuisson et mélanger le tout.
On obtient une pâte très douce et malléable.
Rouler la pâte en petites boule d’à peu près une balle de ping-pong et enfoncer une noisette entière dedans.
Disposer les biscuits soit sur une feuille de papier sulfurisé posée sur un plaque à pâtisserie, soit comme ici sur une feuille de silicone pour cuisson.
Enfourner pour 20 minutes, les biscuits doivent rester clairs et se craqueler légèrement.
Laisser refroidir et saupoudrer de sucre glace pour faire la neige de Noël. Avec un petit café c’est top ! Je vous ai composé ci-dessous un repas festif totalement vegan à partir de recettes de mon blog. Bonne fête à vous tous !
Écraser la banane en purée. ajouter l’huile de coco, le jus de citron. Dans un autre saladier mélanger la farine, le sucre complet, la petite pincée de sel, le zeste du citron et le gingembre. Ajouter le mélange liquide/banane et mélanger. Malaxer à la main jusqu’à obtenir une pâte homogène. Faire une boule, la mettre dans un film alimentaire et placer au frais 15 min.
Sortir la boule de pâte. Préchauffer le four à 170°. Fariner légèrement le plan de travail et étaler votre pâte comme pour faire des petits sablés (ils vont gonfler légèrement à la cuisson, voir photos avant/après). Prendre un emporte-pièce, rond pour ma part et emporte-piécer jusqu’à épuisement de la pâte.
Enfourner pour 18/20 min. Surveillez la cuisson vers la fin car c’est à ce moment que ça peut rapidement colorer sur les côtés.
Ils vont être encore un peu moelleux lorsque vous appuierez dessus en fin de cuisson donc laisser refroidir complètement sur une grille, ils vont durcir et avoir leur texture finale.
Retourne environ 60 pièces
Rôtir l’anis sans graisse.
Refroidir sur le papier ménager.
Ajouter ½ cuillère à café de zeste de citron.
Incorporer le sucre, la compote de pommes et les cerises au batteur à main pendant environ 10 minutes.
Mélanger l'anis, la farine et la levure chimique, ajouter.
Bien mélanger.
Couvrir pendant 1 heure dans un endroit frais.
Inverser légèrement le revers avec du beurre.
Sur une petite portion de farine, façonnez la pâte en rouleaux d’environ 1,5 cm Ø.
Couper en diagonale en morceaux de 6-7 cm de long.
Cochez-les d'un côté 2-3 fois dans un angle.
Formez des croissants. Mettez la boîte.
Laisser sécher pendant 12 heures à la température ambiante.
Préchauffez le four à 140 degrés.
Cuire les biscuits au fond du four pendant 20 minutes. Retrait.
Laisser refroidir
Temps de cuisson : 20 minutes 140 degrés, rainure inférieure
Mélangez bien
Ajouter 500 g de farine et pétrir pour former une pâte.
Former des rouleaux d’environ 1,5 cm de diamètre et les couper en morceaux d’environ 5 cm de longueur, les couper et les plier de manière à ce que les découpes s’ouvrent légèrement.
Si vous refroidissez la pâte au préalable, les miettes sont probablement plus faciles à former.
Laisser Chräbeli sécher pendant environ 24 heures.
Cuire ensuite à 140 ° C dans la moitié inférieure du four avec la porte du four légèrement ouverte pendant environ 30 minutes.
*Le mucus des graines de lin est obtenu en faisant bouillir les graines de lin entières dans de l’eau, puis en les filtrant. Ce qui en sort a la consistance de la protéine brute. Probablement aussi la quantité équivalente de graines de lin moulues + eau tiède (ratio 1: 3), si l’on ne perturbe pas les coques de lin dans la pâte. Voici un guide détaillé pour les deux. La quantité requise dépend du liquide du mucus. Si quelqu'un essaye, je serais intéressé de savoir combien vous avez besoin!
from PaKo
Teams (OneDrive/SharePoint) [Microsoft] Support utilisateurs:
Mattermost
Workplace [Meta]
Workspace [Google] ex G-suite
Loomio (Framavox)
Miro
...
...
http://collaborer.quicklearn.ch
from minimale
La sinusite s’insinue aux tréfonds de mes sinus et me permet de profiter pleinement de leur douloureuse anatomie.
Lecture vespérale: Ténèbres en terre froide de Charles Juliet. Je me demande ce que donnerait sa lecture à la plage.
Je viens de réaliser un Rorschach dans mon mouchoir, je vois une tête de lionne, c’est grave docteur?
from minimale
14 juin, les femmes sont dans la rue. Cause juste que je soutiens quand je pense qu’à travail égal les salaires ne le sont pas. Je suis soignant, un (petit) métier du care, totalement dévalorisé et payé au lance pierre, un métier de femme (dans les cerveaux atrophiés de ceux qui ont oublié quels métiers et quels rôles comptaient vraiment, nous avons apparement déjà oublié 2020)dans ce monde étrange dans lequel il est plus important de sauver les banques que le vivant. Je suis tombé sur une vidéo tellement juste sur l’état actuel des choses, une animation sur l’effondrement, elle date d’il y a 9 ans, cependant ses auteurs étaient beaucoup plus clairvoyants que nos dirigeants. https://m.youtube.com/watch?v=a0J2gj80EVI&pp=ygUOc2FucyBsZW5kZW1haW4%3D
from Florian Siegenthaler
L'Internet que vous connaissez est un ensemble de machines interconnectées qui se parlent entre elles, votre smartphone et frigo connecté devraient également en faire partie, et ceci grâce à un système d'adressage unique appelé « IP », à la manière des numéros de téléphone +4178xxxxxx mais sur Internet il existe deux types d'adressage depuis 1998 : – IPv4 qui existe depuis les débuts d'Internet, avant les années 1990, qui ressemble à cela: 185.250.56.1/22 et dont le nombre est limité. – Et IPv6 qui existe depuis 1998 qui ressemble à cela: 2a0a:db40::1/64, qui est très puissant et avec autant d'adresses que nécessaire qui couvre tous les besoins.
Cet ensemble de machines peut soit parler en IPv4, soit exlusivement en IPv6 (rare) ou les deux, appelé “double pile” ou “dualstack” en anglais.
Si une machine, votre smartphone par exemple, initie une connexion en IPv6, la machine en face, par exemple https://fairsocialnet.ch , si elle parle IPv6 (ce que votre smartphone vérifie avant grâce au DNS), répondra à la requête en IPv6, en l'occurence ici servir le site web de FairSocialNet.
Le principe est le même en IPv4, si une connexion IPv4 commence, ça ne continue que en IPv4.
Pour des questions techniques, il n'y a pas possibilité de faire de passerelle entre les deux protocoles, ce qui amoindrirait les possibilités intéressantes d'IPv6, et je laisse cela pour les personnes voulant s'arracher les cheveux et réparer tous les bugs de tous les routeurs sur terre.
En bref : IPv4 <–> IPv4 IPv6 <–> IPv6 IPv4 ≠ IPv6
Malgré que la communauté avertisse du passage nécessaire à IPv6 depuis des dizaines d'années que l'épuisement des IPv4 allait arriver très vite, au vu du développement d'Internet, il s'avère qu'on se traîne toujours avec des services qui ne sont accessibles qu'en IPv4. Nous sommes en 2023...
Nous sommes donc bien en 2023, et l'opérateur SwissNeutralNet a été un des derniers à obtenir un des tout derniers blocs IPv4 en Europe auprès du registre RIPE NCC en 2018.
Le problème est donc que tout nouvel arrivant n'a aucune possibilité d'obtenir d'adresses IPv4 car elles sont épuisées, et un nombre effarant des personnes administratnt des réseaux ou de simples serveurs n'ont toujours pas rajouté IPv6 et ne se rendent pas compte de l'impact produit sur l'ensemble et la cohésion de l'Internet.
Ceci n'est pas acceptable, et nous devons agir à déployer IPv6 au plus vite, au risque que l'on se retrouve avec les vieux dinosaures [les opérateurs de longues dates ayant acquis plein de blocs] qui ont des paquets monstrueux d'IPv4 en stock, et d'éventuels nouveaux opérateurs qui ne pourraient faire que de l'IPv6, et donc ne pas être accessible de partout.
Quand on est une personne qui utilise Internet quotidiennement, on ne se rend pas compte de cela, parce que chaque opérateur a fait en sorte jusqu'à aujourd'hui de pouvoir se trouver des IPv4. Et quand je dis chaque opérateur, c'est autant votre fournisseur de connexion Internet, mobile (4G, 5G, etc) ou fixe/WiFi, ou par le réseau d'ordinateurs de votre entreprise si vous consultez un site web depuis le travail par exemple... que les hébergeurs de sites web, mails, stockage de fichiers, etc, etc etc. Tout l'Internet.
Si on peut résumer, pardonnez ce qui suit mais c'est la vérité, depuis 1998, on est dans un beau panier de personnes de manque de compétences, et dans d'autres cas certaines refuse toute avancée et évolution logique du réseau, ce qui est au final de la négligence. Dans le tas il y a des personnes qui veulent apprendre aussi, et donc dès à présent il faut mettre en place des formations à disposition.
Pour toutes les personnes intéressées, je vais organiser des cours réguliers à prix intéressant, afin de transmettre les bases d'IPv6 et revenir sur les fondamentaux d'IPv4, pour qu'une personne puisse se débrouiller à configurer ses services ainsi et à tester la configuration.
Plus le temps avance sans un déploiement majeur d'IPv6, plus Internet se fragmente et empêche tout nouvel arrivant sur Internet, que ce soit un fournisseur d'accès à Internet, une entreprise qui a besoin d'opérer sur Internet (elles sont nombreuses en Suisse) ou un hébergeur de services type web, la porte se referme durement.
Cela aurait pu être notre association SwissNeutralNet qui milite pour la neutralité du net.
Tout ceci doit passer par des obligations légales et des menaces économiques sérieuses comme le RGPD le fait avec des amendes colossales, il n'y a que cela qui fera bouger l'ensemble, on a déjà attendu 20 ans. En réalité on a perdu 20 ans.
Nous pourrions également nous demander ce que fait l'OFCOM ? Rien malheureusement actuellement, une recherche “IPv6” ne renvoie rien d'utile. Cependant l'Office fédéral de la statistique est plus en avance que l'OFCOM sur la matière: https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/statistiques/culture-medias-societe-information-sport/societe-information/indicateurs-generaux/infrastructures/infrastructure-internet.html
Si nous voulons conclure simplement cet article, il s'agit de mettre clairement dans la loi qu'un accès à Internet doit permettre d'y accéder en IPv6, sans cela ce n'est pas un accès Internet et cela ne peut pas être vendu sous le nom Internet.
Cela soulève aussi des questions de souveraineté numérique, trop longues à expliquer dans cet article. Et même si IPv6 est déployé, cela ne veut pas dire que c'est fait correctement, en exemple l'opérateur historique qui change le préfixe IPv6 et qui inclut l'IPv4 dedans. Lorsque l'IPv4 change, tout le préfixe IPv6 change, il faut donc tout renuméroter.
Si vous êtes une personne intéressée à suivre une formation IPv6, que vous connaissez déjà un peu IPv4, vous pouvez m'écrire à florian arobase siegenthaler . mx et je vous enverrai les informations.
from minimale
En l’an 2001 j’étais plutôt actif sur la toile. Depuis j’ai changé d’avis et effacé mes traces. À nouveau je retourne ma veste afin de m’essayer à un style plus sobre, sans images ni fioritures. Aucune idée de ce qu’il adviendra. Petit saut dans l’inconnu.
h o p
from luthi
test
from aroom
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